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Dessiné estomac affamé dans Hotness humide Part1

Le contour mijotant des feuilles reflète le sol du parc naturel de la forêt, la silhouette évasée avec un rayon de soleil plus fort, ce qui rend la lumière blanche jaunâtre ensoleillée rend le fond des feuilles réfléchies, au-dessus du sol du parc naturel de la forêt.


Les arbres respirent dedans et dehors favorise la terre de forêt nous injectent mijotant sans interruption, en gardant la facilité dans le temps fait décalant, pour rester moi là banc placé.


Rester là pendant un certain temps rend le décalage du temps si distinctif par rapport à l'occasion de transiter en marchant.


Qu'est-ce qui nous amène la solitude?


Les arbres le ressentent-ils autant que nous?


Ensoleillement le sent-il non plus?


Est-ce que le soleil est la semelle, il est là, il ne pouvait jamais ressentir la solitude, coz la solitude vient à une situation faite de ségrégation, du site de collecte.


Midi rend le vent plus fort que le matin. Il laisse tomber une petite brindille sur mon épaule, soit le vent semble vouloir me parler, je comprends.


Quand je suis retourné à la maison, si tôt Ciel nuageux, une fois que le vent bercé, champ calme vide de bâtiment va et vient, je pouvais voir, mais l'atmosphère est devenue plus humide qu'avant.


Soudain, il a douché pendant un certain temps, mais bientôt passé, l'absence de vent rend la température tangible plus chaude pour moi.


La fatigue de la marche après une longue durée de séjour à la maison ne fait que gronder, et l'humidité chaude incite mon mouvement de marche si légèrement.


J'ai pris le déjeuner dans mon restaurant chinois fréquemment utilisé près de la gare la plus proche de ma résidence située à côté de la gare. Pour le moment, mon estomac était rempli avec le déjeuner.


Humidité, douche, ventilateur faisant la brise, toutes les choses me rendent somnolent, dans l'après-midi avant le coucher du soleil.


L'air humide humidifie la sueur flottante de ma peau, cette chose bloque la venue de mon sentiment sombre, l'esprit dormant reproduit jamais avoir ma nuit céleste, mais personne n'est à côté de moi pour le moment.


La soif ne m'arrive à nouveau.


La mémoire du passé et l'imagination du présent se croisent parfois.


Les elfes volent au-dessus du Ciel, Les anges me font un clin d'œil, me portant dans une brume trouble et chauffée à la fois extérieurement et intérieurement.


J "esquive à tout moment que magnifiquement poème romantique par écrit, mais au milieu début de la saison des pluies, il me ramène à cesser de fumer sur l "interdiction de l" écrire à nouveau longtemps pas voir à moi, ce moment-là.
(la suite)
(Jun. 11e. 2020)